IMMOBILIER À MIAMI

La colonisation espagnole s'est poursuivie en dents de scie. Les Anglais ont commencé à s'installer dans la région aux XVIIIe et XIXe siècles, mais la première colonie blanche permanente n'a été établie que vers 1800, lorsque Pedro Fornells est arrivé à Key Biscayne.

Les guerres séminoles ont dévasté les populations autochtones, laissant les terres libres pour les colons européens et bahaméens. Le village de Miami a été délimité sur la rive sud de la rivière au début des années 1840 et, en 1844, Miami est devenu le siège du comté. De nouveaux colons arrivent, notamment les Brickells, dont le nom est encore célèbre aujourd'hui dans les quartiers de Miami. De nouvelles colonies se développent : Lemon City (aujourd'hui Little Haiti), Coconut Grove, Biscayne dans l'actuelle Miami Shores, et Cutter dans l'actuelle Palmetto Bay. Le chemin de fer d'Henry Flagler stimule le développement et la migration.

La ville est passée de 1 681 habitants en 1900 à 29 549 en 1920. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, la population atteignait presque un demi-million d'habitants, et le recensement de 2010 indiquait une population totale de 2 496 435 habitants pour le Grand Miami.

La révolution cubaine de 1959 a vu la première vague de Cubains des classes moyennes et supérieures arriver à Miami, suivie par les ouvriers. En 1965, environ 100 000 immigrants cubains ont rejoint les "vols de la liberté" et le quartier de Riverside a été surnommé "Little Havana". La Petite Havane est cubaine par son nom et son histoire. Le quartier compte aujourd'hui des résidents hispanophones originaires de nombreux pays tels que le Mexique, le Nicaragua et le Costa Rica.

Miami doit son nom à la tribu amérindienne Mayaimi, qui vivait autour du lac Okeechobee (Big Water) jusqu'à il y a environ 300 ans. Juan Ponce de Leon fut le premier Européen à visiter la région, puis, en 1566, Pedro Menendez de Avilés chassa les Français de Floride et établit de nouvelles colonies espagnoles (colonias españolas). À l'époque, la région était mieux connue sous le nom de "Biscayne Bay Country" et était "très prometteuse". Ils avaient raison.

La colonisation espagnole s'est poursuivie en dents de scie. Les Anglais ont commencé à s'installer dans la région aux XVIIIe et XIXe siècles, mais la première colonie blanche permanente n'a été établie que vers 1800, lorsque Pedro Fornells est arrivé à Key Biscayne.

Les guerres séminoles ont dévasté les populations autochtones, laissant les terres libres pour les colons européens et bahaméens. Le village de Miami a été délimité sur la rive sud de la rivière au début des années 1840 et, en 1844, Miami est devenu le siège du comté. De nouveaux colons arrivent, notamment les Brickells, dont le nom est encore célèbre aujourd'hui dans les quartiers de Miami. De nouvelles colonies se développent : Lemon City (aujourd'hui Little Haiti), Coconut Grove, Biscayne dans l'actuelle Miami Shores, et Cutter dans l'actuelle Palmetto Bay. Le chemin de fer d'Henry Flagler stimule le développement et la migration.

La ville est passée de 1 681 habitants en 1900 à 29 549 en 1920. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, la population atteignait presque un demi-million d'habitants, et le recensement de 2010 indiquait une population totale de 2 496 435 habitants pour le Grand Miami.

La révolution cubaine de 1959 a vu la première vague de Cubains des classes moyennes et supérieures arriver à Miami, suivie par les ouvriers. En 1965, environ 100 000 immigrants cubains ont rejoint les "vols de la liberté" et le quartier de Riverside a été surnommé "Little Havana". La Petite Havane est cubaine par son nom et son histoire. Le quartier compte aujourd'hui des résidents hispanophones originaires de nombreux pays tels que le Mexique, le Nicaragua et le Costa Rica.

Une analyse démographique plus poussée montre que 5,7 % des habitants de Miami sont nicaraguayens, 5,5 % haïtiens et 3,3 % honduriens. De nombreux autres résidents sont également originaires de Porto Rico, du Salvador, de la Dominique, de Guatamala, de Colombie, du Venezuela et du Brésil. Environ deux tiers de la population hispanique sont nés à l'étranger.

L'espagnol et l'anglais sont les langues prédominantes, mais avec plus de 150 groupes ethniques, plus de 60 langues sont parlées par les résidents et les visiteurs.

L'orchestre philharmonique de Miami attire des virtuoses du monde entier et le Coconut Grove Playhouse est un théâtre célèbre. Il existe plusieurs musées d'art tels que la Villa Vizcaya et le Lowe Art Museum. Il existe des musées historiques spécialisés et un planétarium au Museum of Science.

La flore et la faune tropicales sont exposées au Miami Beach Garden Center, à l'Orchid Jungle, au Redland Fruit and Spice Park, au Crandon Park Zoo et au Key Biscayne Monkey Jungle.

Miami a une vie nocturne trépidante, de nombreuses activités familiales, des musées et tellement de plages de sable qu'il faudrait des semaines pour les visiter.

Miami est surnommée en plaisantant la "capitale mondiale des épaves" en raison du grand nombre de navires coulés datant de l'époque de l'empire espagnol. La plongée sous-marine est devenue un loisir sportif majeur, tout comme les courses de bateaux à moteur sur la baie de Biscayne.

Sur la terre ferme, il y a plus de 40 terrains de golf, et le tennis est si populaire que de nombreux champions de tennis de renommée mondiale y ont leur résidence d'hiver et leur centre d'entraînement.

Les courses de chevaux de race Thoroughbred aux hippodromes de Hialeah et de Calder sont très populaires, tout comme les courses de chiens et, bien sûr, l'incroyable sport du jai alai.

Les sports professionnels sont très bien représentés par les Miami Dolphins (football), les Florida Marlins (baseball), le Miami Heat (basket-ball) et les Florida Panthers (hockey).

Le Greater Miami Convention and Visitors Bureau a pour mission de promouvoir la ville et ses plages auprès des visiteurs et des nouveaux résidents.